| Dernières réponses | |  Adossé au mur du Lycée, Edward regardait la jeune fille brune s'éloigner avec une autre fille. Il la regardait avec fascination, mais un rictus de haine s'emparait de son esprit. La sonnerie retenti. Edward quitta son petit groupe fraternel, pour se diriger vers la salle de classe. Mais une soudaine envie de faire une escapade de quelques minutes lui fit retourner ses talons vers la sortie du batiment. |
| | arrivait en prenant tout son temps
- Bonjour, puis-je avoir mon emploie du temps ? Mon nom ? Sheffer. Mackenzie Sheffer. Il n'y en a plus ? Et où je peux le trouvé ? Ah merci.
elle avança dérrière la fille et l'interpella
- Hé ! Euh...salut. Moi c'est Mackenzie. Apparement on a le meme emploie du temps. Sa te dérangerait si je t'emprétais le tien pour le photocopié ? |
| | Je n'était jamais venue voir mon lycée et pourtant, je le reconnus du premier coup d'oeil. Beaucoup d'élèves étaient déjà là, bavardant entre eux de leurs vacances d'été, et de l'année à venir. Je m'avancai quelque peu, mes classeurs en main et mon vieux sac sur le dos. Je repérai un bâtiment avec pour inscription dessus "ACCUEIL" et traversai la pelouse pour m'y rendre. Quand j'ouvris la porte, une bouffée d'air chaud enveloppa mon visage. et je n'eus bientôt plus froid. Un élève était déjà là, bavardant avec une des deux secrétaires. Mes yeux le fixèrent. Il était sublime, d'une beauté inhumaine. Sa peau pâle contrastait avec le noir dur de ses yeux. Il avait des cheveux blonds et possédait apparemment un charme incroyable. Je suffoquais un instant puis repris mes esprits, et tentai d'adresser la parole à une des deux secrétaires qui l'épiait en douce.
-Bonjour, je suis nouvelle, je...
-Bella Swan, n'est ce pas?, dit-elle, un grand sourire aux lèvres, Voici ton emploi du temps. j'espère que tu te plaira ici.
-Merci. Je l'espère aussi.
Je m'éloignai et remarquai toutefois que le garçon m'épiait. Mais ce n'était pas de la curiosité que je pus lire dans ses yeux. Ses yeux étaient empreints de haine, on eût dit qu'il se retenait pour ne pas venir me régler mon compte. Je rougis en me demandant ce que me valais cette soudaine aversion. |
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